La licence Économie et gestion permet, en trois ans d’acquérir une formation générale et spécialisée pour intégrer soit un master professionnel soit un master recherche.
Le tronc commun des deux premières années offre une formation complète en économie et en gestion. Les étudiants acquièrent un socle de connaissances et s’initient à la méthodologie universitaire. La 3e année de licence parcours Comptabilité, contrôle, audit vise à former en un an les étudiants afin qu’ils acquièrent des compétences techniques de haut niveau dans les domaines de la comptabilité, du contrôle de gestion, de la fiscalité et de l’audit ou encore de la finance. Première étape dans le cursus de l’expertise comptable, cette licence s’appuie notamment sur les nouveaux programmes du diplôme de comptabilité et de gestion (ex-DECF) et permet d’acquérir les connaissances fondamentales pour accéder aux masters dans le domaine de la comptabilité, de la finance, du contrôle de gestion et de l’audit

 

Spécificités de la licence Comptabilité, contrôle, finance et audit :

L’enseignement du parcours Comptabilité, contrôle, audit est souvent assuré à la fois par des universitaires réputés et des praticiens (experts-comptables, commissaires aux comptes, avocats, ingénieurs, consultants) ; le mariage entre la théorie et la pratique, la connaissance et l’action, est ainsi une réalité quotidienne.
L’alternance entre les cours et l’activité en entreprise permet à l’apprenti une mise en œuvre immédiate des enseignements et lui assure une rémunération pendant toue la durée de la formation. Chaque apprenti peut être suivi par un tuteur pédagogique, enseignant de la formation. Ce tuteur est son interlocuteur privilégié pour tous les aspects liés au bon déroulement de l’apprentissage. Un maître d’apprentissage est désigné par l’entreprise pour jouer un rôle similaire au sein de l’organisme d’accueil.
En apprentissage, la répartition des activités de l’apprenti entre l’université et l’entreprise est modulée selon les saisons pour répondre aux besoins des entreprises et des cabinets notamment au cours de la période intense (février, mars : période fiscale). Globalement l’apprenti suit le rythme suivant : 67,50% du temps en entreprise et 32,5% à l’université.