La journée de solidarité ne peut donc pas être le 1er mai. Elle a été votée en France après la canicule de 2003 sous l’action du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Le principe est simple, il s’agit de financer les actions en faveur des personnes âgées avec les cotisations versées par les employeurs au titre de l’URSSAF de cette journée.