En résumé, après un mois de mars dominé par l’actualité, la guerre en Ukraine, la vie des entreprises continue…, le début du mois d’Avril est l’heure de faire les comptes.

Le bilan comptable est presque prêt et le résultat final de 2021 se dessine enfin. Il fait d’ailleurs apparaître un joli résultat positif synonyme de dividendes. La fin du premier trimestre marque aussi le résultat de notre changement de stratégie.

Ouf ! (Nous avons eu quelques sueurs tout de même)

La fin du premier trimestre nous permet de faire nos premières projections de l’année. Nous avons constaté un fort ralentissement dans la prise de décisions de nos clients et prospects. Toutefois, tout vient à point à qui sait attendre puisque les projets ont été souvent décalés mais rarement annulés.

Comme espéré, notre travail de suivi client a payé. Etant donné que nous avons accordé du temps à chaque client et pris soin de lui proposer des besoins extrêmement ciblés, la plupart de nos clients ont validé nos propositions et nous ont confié la réalisation de ce qui a été discuté.

Il faut dire que le Covid-19 est relégué dans les esprits loin derrière le business. Bien que certaines sociétés soient toujours légèrement désorganisées par des absences ponctuelles, les dirigeants d’entreprises semblent plus sereins. Seuls quelques clients de l’Agence sont touchés, directement ou indirectement, par des soucis d’approvisionnement ou la guerre en Ukraine.

On pourrait croire que l’émotion générée par les évènements actuels impacte ces hommes et ces femmes, dirigeants d’entreprises petites, moyennes ou grandes qui, de fait, préfèrent prendre plus de temps pour prendre une décision. Mais le paradoxe est plus profond. En fait, les décideurs sont tiraillés par des problématiques diverses : manque de main d’œuvre, difficultés de trésorerie, rupture d’approvisionnement, inquiétudes sur la pérennité de leur activité, manque de trésorerie actuel dû à la crise sanitaire… auxquelles ils doivent trouver des solutions.

De toute façon, trouver des solutions prend du temps. C’est donc très certainement la raison principale pour laquelle les décideurs décalent leurs projets en matière de communication. En conséquence, nous expliquons à nos prospects que communiquer permet très souvent de résoudre leurs problématiques. Nos commerciaux sont formés pour délivrer un message rassurant et visant à démontrer aux clients/prospects que mettre en place une stratégie de communication est tout à fait essentiel au bon fonctionnement de leur entreprise.

Engagement pour le climat

Dans le but d’agir pour la protection de l’environnement, nous continuons de chercher de nouveaux moyens de mener à bien notre activité professionnelle de façon responsable. La question du remplacement des véhicules personnels par des véhicules d’entreprise électriques est à l’ordre du jour. Grâce à ce changement, nous pourrions significativement réduire notre empreinte carbone globale.

Nous nous heurtons pourtant à plusieurs autres problématiques. La première concerne le coût d’acquisition élevé. Les voitures sont relativement chères et les modèles ne sont pas disponibles rapidement chez les constructeurs. La seconde a trait à est l’absence de bornes de recharge dans le parking collectif de l’entreprise (le local professionnel étant situé dans une copropriété). Pour s’équiper de ce matériel, nous devons au préalable, porter notre demande en assemblée générale de copropriété. Or, l’accord de l’AG n’est pas acquis à l’avance !  Enfin, on peut s’interroger sur le fait que bien que le véhicule électrique ait le vent en poupe : est-il adapté à toutes les entreprises ? A priori, un véhicule hybride semble plus pratique. Mais pour des salariés effectuant beaucoup de trajets urbains, la batterie doit être rechargée quasi-quotidiennement. Cela pose donc de réels doutes quant à la pertinence écologique si ces recharges ne sont pas systématiquement faites réalisée et de fait, le moteur thermique privilégié.

Au cours de mes recherches, j’ai appris qu’il y a une option qui permet de distinguer dans l’achat d’un véhicule électrique, le véhicule et sa batterie si le prix de cette batterie est indiqué sur la facture. Ainsi, le coût d’acquisition est très souvent inférieur à la limite de charges déductibles de 30 000€.

Et puisque nous parlons de fiscalité, nous avons étudié quelques sujets plus légers. Nous travaillons actuellement sur la comparaison des taux d’imposition (et leurs modalités) applicables aux deux formes de rémunérations d’un entrepreneur que sont les salaires et les dividendes. Entre l’imposition sur le barème progressif et l’option sur la « flat tax », la question se pose.

Par Publié le : 3 avril 2022Catégories : Economie, Gestion et Finance0 CommentaireMots-clés : , , ,